Créateur.rice.s

Ma maison modèle

Texte -

Anaïs Barbeau-Lavalette

Il y a quelques mois, la réalisatrice, scénariste et autrice Anaïs Barbeau-Lavalette était en quête d’une retraite d’écriture. Un endroit qui deviendrait le refuge de nouvelles idées et où le silence pourrait la combler. Nous l’avons invitée à se poser quelques jours dans un chalet. 

Sa grande amie Émilie Laforest et elle y sont débarquées chargées de pains frais et de roses. Pendant ce séjour salvateur, elles ont dormi profondément et ont consacré leurs matinées à l’écriture. 

Arrivée dans un état de grand épuisement, Anaïs Barbeau-Lavalette a trouvé chez BESIDE Habitat un sanctuaire inspirant.‍

C’était une semaine de fortes pluies, je trimbalais un bagage de fatigue et je serais sans doute restée à égrainer un reste de peine en ville si je n’avais pas eu accès à l’air de BESIDE Habitat.
Je savais que je devais écrire, que ça faisait partie de ma réparation, mais j’avais besoin d’une alcôve.
Dans cet espace-là, tout est devenu possible. J’étais dedans, mais le dehors rentrait partout. Les grandes fenêtres me donnaient la permission d’être essoufflée. Mon manteau de fatigue s’est évaporé tout seul.
Les mots sont arrivés sans que je les convoque : la lumière du lieu, malgré l’orage, leur traçait un chemin.
J’ai écrit là les premières lignes d’un nouveau roman.
Dans mes petites pauses, je me promenais dans ma maison — oui, je la sentais mienne pour un temps — étonnée par l’élégante perfection des lieux.
J’aime habituellement les territoires qui ont du vécu, les maisons un peu croches, un peu écorchées. Dans ma maison tout était neuf, mais d’un neuf fin, vivant et chaleureux. Je me sens encore immensément choyée d’avoir rencontré cet espace-là, et qu’il m’ait rencontré en retour. Quelque chose d’unique existe ici. Qui n’est pas tant porté par la nature, mais vraiment par la main tendue de l’homme — et de la femme — vers elle. Tout a été pensé pour raviver le lien qui nous unit avec l’extérieur. Et ça, je trouve ça très beau.
Voir salvateur.
Je repars avec un doux désir de retour.
Et avec un nouveau roman.

Anaïs Barbeau-Lavalette est née en 1979 à Montréal. Elle a su se démarquer dans le monde du cinéma documentaire, mais aussi celui du livre. Elle est notamment l’autrice de La femme qui fuit, qui a remporté un grand succès critique et populaire, et de Femme forêt. Plus récemment, elle a signé Femme fleuve, qu’elle a entamé durant son séjour à BESIDE Habitat. 

Emmitouflez-vous dans l’hiver
Réchauffez-vous l’âme et les pieds à BESIDE Habitat pendant qu’il fait froid dehors. Les planchers radiants, le sauna et le poêle à bois vous attendent.
RÉSERVER
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Anaïs Barbeau-Lavalette

Il y a quelques mois, la réalisatrice, scénariste et autrice Anaïs Barbeau-Lavalette était en quête d’une retraite d’écriture. Un endroit qui deviendrait le refuge de nouvelles idées et où le silence pourrait la combler. Nous l’avons invitée à se poser quelques jours dans un chalet. 

Sa grande amie Émilie Laforest et elle y sont débarquées chargées de pains frais et de roses. Pendant ce séjour salvateur, elles ont dormi profondément et ont consacré leurs matinées à l’écriture. 

Arrivée dans un état de grand épuisement, Anaïs Barbeau-Lavalette a trouvé chez BESIDE Habitat un sanctuaire inspirant.‍

C’était une semaine de fortes pluies, je trimbalais un bagage de fatigue et je serais sans doute restée à égrainer un reste de peine en ville si je n’avais pas eu accès à l’air de BESIDE Habitat.
Je savais que je devais écrire, que ça faisait partie de ma réparation, mais j’avais besoin d’une alcôve.
Dans cet espace-là, tout est devenu possible. J’étais dedans, mais le dehors rentrait partout. Les grandes fenêtres me donnaient la permission d’être essoufflée. Mon manteau de fatigue s’est évaporé tout seul.
Les mots sont arrivés sans que je les convoque : la lumière du lieu, malgré l’orage, leur traçait un chemin.
J’ai écrit là les premières lignes d’un nouveau roman.
Dans mes petites pauses, je me promenais dans ma maison — oui, je la sentais mienne pour un temps — étonnée par l’élégante perfection des lieux.
J’aime habituellement les territoires qui ont du vécu, les maisons un peu croches, un peu écorchées. Dans ma maison tout était neuf, mais d’un neuf fin, vivant et chaleureux. Je me sens encore immensément choyée d’avoir rencontré cet espace-là, et qu’il m’ait rencontré en retour. Quelque chose d’unique existe ici. Qui n’est pas tant porté par la nature, mais vraiment par la main tendue de l’homme — et de la femme — vers elle. Tout a été pensé pour raviver le lien qui nous unit avec l’extérieur. Et ça, je trouve ça très beau.
Voir salvateur.
Je repars avec un doux désir de retour.
Et avec un nouveau roman.

Anaïs Barbeau-Lavalette est née en 1979 à Montréal. Elle a su se démarquer dans le monde du cinéma documentaire, mais aussi celui du livre. Elle est notamment l’autrice de La femme qui fuit, qui a remporté un grand succès critique et populaire, et de Femme forêt. Plus récemment, elle a signé Femme fleuve, qu’elle a entamé durant son séjour à BESIDE Habitat. 

Emmitouflez-vous dans l’hiver
Réchauffez-vous l’âme et les pieds à BESIDE Habitat pendant qu’il fait froid dehors. Les planchers radiants, le sauna et le poêle à bois vous attendent.
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Il y a quelques mois, la réalisatrice, scénariste et autrice Anaïs Barbeau-Lavalette était en quête d’une retraite d’écriture. Un endroit qui deviendrait le refuge de nouvelles idées et où le silence pourrait la combler. Nous l’avons invitée à se poser quelques jours dans un chalet. 

Sa grande amie Émilie Laforest et elle y sont débarquées chargées de pains frais et de roses. Pendant ce séjour salvateur, elles ont dormi profondément et ont consacré leurs matinées à l’écriture. 

Arrivée dans un état de grand épuisement, Anaïs Barbeau-Lavalette a trouvé chez BESIDE Habitat un sanctuaire inspirant.‍

C’était une semaine de fortes pluies, je trimbalais un bagage de fatigue et je serais sans doute restée à égrainer un reste de peine en ville si je n’avais pas eu accès à l’air de BESIDE Habitat.
Je savais que je devais écrire, que ça faisait partie de ma réparation, mais j’avais besoin d’une alcôve.
Dans cet espace-là, tout est devenu possible. J’étais dedans, mais le dehors rentrait partout. Les grandes fenêtres me donnaient la permission d’être essoufflée. Mon manteau de fatigue s’est évaporé tout seul.
Les mots sont arrivés sans que je les convoque : la lumière du lieu, malgré l’orage, leur traçait un chemin.
J’ai écrit là les premières lignes d’un nouveau roman.
Dans mes petites pauses, je me promenais dans ma maison — oui, je la sentais mienne pour un temps — étonnée par l’élégante perfection des lieux.
J’aime habituellement les territoires qui ont du vécu, les maisons un peu croches, un peu écorchées. Dans ma maison tout était neuf, mais d’un neuf fin, vivant et chaleureux. Je me sens encore immensément choyée d’avoir rencontré cet espace-là, et qu’il m’ait rencontré en retour. Quelque chose d’unique existe ici. Qui n’est pas tant porté par la nature, mais vraiment par la main tendue de l’homme — et de la femme — vers elle. Tout a été pensé pour raviver le lien qui nous unit avec l’extérieur. Et ça, je trouve ça très beau.
Voir salvateur.
Je repars avec un doux désir de retour.
Et avec un nouveau roman.

Anaïs Barbeau-Lavalette est née en 1979 à Montréal. Elle a su se démarquer dans le monde du cinéma documentaire, mais aussi celui du livre. Elle est notamment l’autrice de La femme qui fuit, qui a remporté un grand succès critique et populaire, et de Femme forêt. Plus récemment, elle a signé Femme fleuve, qu’elle a entamé durant son séjour à BESIDE Habitat. 

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Réchauffez-vous l’âme et les pieds à BESIDE Habitat pendant qu’il fait froid dehors. Les planchers radiants, le sauna et le poêle à bois vous attendent.
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