Cette pièce de mobilier, simple en apparence, a suscité de nombreux grattages de tête et de tests en position assise avant qu’on en arrive finalement à la formule qu’on retrouve aujourd’hui dans les chalets.

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Le but initial: imaginer un tabouret compact qui puisse se ranger dans le placard. Pour les soirées improvisées, on pourrait en sortir quelques uns au besoin pour ajouter des places à table quand on utilise sa rallonge.

Un prototype est né, avec ses angles irréprochables, son format judicieusement pliable. Le confort, lui, n’était pas encore tout à fait à l’épreuve des longues veillées.  

«Après quelques mois d’essai et bon nombre de soirées passées en position assise, on a réalisé que ce design remplissait parfaitement sa fonction pour des tabourets d’appoint, mais qu’il n’était pas nécessairement idéal pour les quatre qui restaient autour de l’ilot en permanence», continue Stéphane.  

Retour à la table de dessin, donc, pour ces quatre sièges. Nouvel objectif: un design qui s’agence toujours avec la cuisine, mais qui mise sur la stabilité et le confort. «Cette fois-ci, on n’avait plus besoin qu’ils se plient et on pouvait augmenter la dimension de l’assise au grand plaisir des bons gaillards comme moi — j’ai des bonnes cuisses, merci au vélo et à la bière», dit-il en riant.  

Cette deuxième génération de tabourets se compose également du merisier russe et de l’acier inoxydable qui caractérisent la cuisine. Imitant les lignes simples de l’ilot, les pattes en inox solidifient la structure du siège. Plus profonde et plus large, l’assise comprend un angle agréable aussi reproduit dans le dossier. À tout ça, s’ajoute un barreau sur lequel reposer les pieds.  

«Autrement dit, on peut maintenant facilement passer deux trois heures assis à boire du vin avec la visite», conclut Stéphane.

Ainsi, le chalet évolue, comme la nature qui l’entoure. Sur l’acier inoxydable, on verra une patine se créer avec le temps. Des marques témoigneront des déjeuners en famille, des parties de cartes et des minutes qui se transforment en heure tandis que les spaghettis se font enrouler et que les histoires s’enchainent.

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Cette pièce de mobilier, simple en apparence, a suscité de nombreux grattages de tête et de tests en position assise avant qu’on en arrive finalement à la formule qu’on retrouve aujourd’hui dans les chalets.

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Le but initial: imaginer un tabouret compact qui puisse se ranger dans le placard. Pour les soirées improvisées, on pourrait en sortir quelques uns au besoin pour ajouter des places à table quand on utilise sa rallonge.

Un prototype est né, avec ses angles irréprochables, son format judicieusement pliable. Le confort, lui, n’était pas encore tout à fait à l’épreuve des longues veillées.  

«Après quelques mois d’essai et bon nombre de soirées passées en position assise, on a réalisé que ce design remplissait parfaitement sa fonction pour des tabourets d’appoint, mais qu’il n’était pas nécessairement idéal pour les quatre qui restaient autour de l’ilot en permanence», continue Stéphane.  

Retour à la table de dessin, donc, pour ces quatre sièges. Nouvel objectif: un design qui s’agence toujours avec la cuisine, mais qui mise sur la stabilité et le confort. «Cette fois-ci, on n’avait plus besoin qu’ils se plient et on pouvait augmenter la dimension de l’assise au grand plaisir des bons gaillards comme moi — j’ai des bonnes cuisses, merci au vélo et à la bière», dit-il en riant.  

Cette deuxième génération de tabourets se compose également du merisier russe et de l’acier inoxydable qui caractérisent la cuisine. Imitant les lignes simples de l’ilot, les pattes en inox solidifient la structure du siège. Plus profonde et plus large, l’assise comprend un angle agréable aussi reproduit dans le dossier. À tout ça, s’ajoute un barreau sur lequel reposer les pieds.  

«Autrement dit, on peut maintenant facilement passer deux trois heures assis à boire du vin avec la visite», conclut Stéphane.

Ainsi, le chalet évolue, comme la nature qui l’entoure. Sur l’acier inoxydable, on verra une patine se créer avec le temps. Des marques témoigneront des déjeuners en famille, des parties de cartes et des minutes qui se transforment en heure tandis que les spaghettis se font enrouler et que les histoires s’enchainent.

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