Les Gens

Le nouveau lieu de rencontre des Côté-Leduc

BESIDE Habitat est intrinsèquement motivée par la conservation du territoire: protéger 80 % de toute terre acquise et développer au maximum 20 % de sa superficie. L’atteinte de cet objectif serait impossible sans la confiance et le soutien de celles et ceu x qui embarquent dans l’aventure et deviennent propriétaires d’un chalet. Nous les appelons nos membres fondateur·rice·s. Voici deux visages de cette communauté qui partage nos valeurs et qui fait en sorte que ce projet existe et continue d’évoluer.

Texte -

Automne 2022. Pierre Leduc voit la vidéo BESIDE Habitat. «J’ai réfléchi pendant trois jours entiers avant de la montrer à Jacqueline parce que je savais que si elle l’écoutait, elle commencerait déjà à paqueter nos boites», se remémore-t-il.  

Comme quoi il connait bien son épouse. Le couple, qui jusqu’alors n’a pas de projet de retraite défini, trouve le sien au moment fatidique où Pierre lui montre enfin la vidéo. Les deux ancien·ne·s infirmier·ère·s s’imaginent déjà s’installer de façon permanente dans un chalet BESIDE, y recevoir leurs ami·e·s pour l’apéro, dépanner les voisin·e·s en leur prêtant leur génératrice ou soigner les écorchures des enfants qui courent trop vite sur le chemin de terre.

Un projet de famille

Les Côté-Leduc ont passé leur vie à Montréal avec leurs deux enfants. Leur fille, Maude, y vit et y travaille toujours, mais pour elle, la perspective de s’ancrer en ville en achetant une propriété n’a jamais vraiment eu de sens. Elle admet en revanche que l’idée d’avoir un pied à terre en forêt l’enchante. Elle embarque donc dans le projet avec ses parents.  

Pierre et Jacqueline dormiront à la mezzanine et lui laisseront le pod. «Quand on sera rendu·e·s vieillards, on échangera», dit cette dernière en riant. Et lorsque le duo aura envie de faire une saucette en ville, il échangera de maison avec Maude le temps d’un weekend.  

En attendant que leur chalet soit construit, Pierre et Jacqueline s’offrent quelques jours à BESIDE Habitat Lanaudière en février, question d’avoir un avant-gout de leur future vie.

Jacqueline se remémore cette soirée d’hiver à boire un verre de vin sur le bord du foyer, avec un fond de musique jazz: «Je me suis surprise à regarder les flocons tomber pendant 20 minutes pis à me dire “coudonc, j’vais-tu devenir contemplative moi, là?”».

L’architecture des chalets et leur façon de s’intégrer dans la nature leur permettent de faire le vide. Pendant les quelques mois qui précèdent le déménagement, ils épurent leurs possessions. Le 19 aout marque enfin l’heure du grand saut.  

«On part avec quelques boites, nos vélos et un escabeau», raconte Pierre. Les retraité·e·s deviennent les premier·ère·s membres fondateur·rice·s (et les seul·e·s à ce jour) à s’installer de façon permanente à BESIDE Habitat Lanaudière.  

Plus qu’un bain de forêt  

Comme pour plusieurs, la pandémie a fait resurgir le besoin de se rapprocher de la nature, mais aussi (et surtout) celui d’être ensemble. «On ne serait jamais allé·e·s s’isoler dans le fin fond du bois tout seul·e·s; c’est surtout l’esprit de communauté du projet qui nous a interpelé·e·s, explique Jacqueline. On a l’impression de faire partie d’une microsociété, où la collaboration et le soutien arrivent tout naturellement.»

Dans cette microsociété de membres fondateur·rice·s, il n’est pas rare que l’un·e écrive aux autres pour les inviter à emprunter sa nouvelle scie à chaine au besoin. Il leur est tout aussi naturel d’échanger des conseils pour récurer la fonte.  

Pour Jacqueline et Pierre, c’est précisément ce que BESIDE Habitat a de particulier: cette façon de rallier des gens qui ont tous envie de se rapprocher de la nature et de protéger le territoire.  

«Même si on vient tous et toutes d’horizons très différents, on se retrouve aujourd’hui grâce à des valeurs communes et on se sent honoré·e·s de faire partie d’un projet avec autant de portée», continue Jacqueline.  

Les souvenirs à créer

Le chalet est devenu le nouveau quartier général de la famille Côté-Leduc, un lieu de réunion et de rencontre. Lorsqu’elle s’y arrête, Maude s’y plait bien; l’eau est un élément qui l’apaise et la présence des lacs la rassure.  

«Contrairement à ma mère, je suis de nature contemplative. Je peux passer des heures à regarder la cime des arbres bouger à travers l’immense fenêtre», raconte-t-elle. Pour elle, le lieu appelle à la déconnexion.  

«On n’a jamais vu ça comme un investissement financier, mais plutôt comme un investissement envers le bienêtre, la famille et la protection de la nature», lance Pierre.  

À leurs yeux, la vraie valeur ne se calcule pas: elle se ressent. Surtout, elle se partage, et le duo compte bien le faire. En invitant des ami·e·s, en allant piqueniquer sur le bord du lac Charlevoix avec la voisine d’en face et en jouant à la pétanque avec des nouveaux et nouvelles venu·e·s.

Alors, tenez-le vous pour dit; si vous les saluez au détour d’un sentier, il se peut que vous soyez invité·e à souper.

Emmitouflez-vous dans l’hiver
Réchauffez-vous l’âme et les pieds à BESIDE Habitat pendant qu’il fait froid dehors. Les planchers radiants, le sauna et le poêle à bois vous attendent.
RÉSERVER
Les Gens

Le nouveau lieu de rencontre des Côté-Leduc

BESIDE Habitat est intrinsèquement motivée par la conservation du territoire: protéger 80 % de toute terre acquise et développer au maximum 20 % de sa superficie. L’atteinte de cet objectif serait impossible sans la confiance et le soutien de celles et ceu x qui embarquent dans l’aventure et deviennent propriétaires d’un chalet. Nous les appelons nos membres fondateur·rice·s. Voici deux visages de cette communauté qui partage nos valeurs et qui fait en sorte que ce projet existe et continue d’évoluer.

Texte -

Automne 2022. Pierre Leduc voit la vidéo BESIDE Habitat. «J’ai réfléchi pendant trois jours entiers avant de la montrer à Jacqueline parce que je savais que si elle l’écoutait, elle commencerait déjà à paqueter nos boites», se remémore-t-il.  

Comme quoi il connait bien son épouse. Le couple, qui jusqu’alors n’a pas de projet de retraite défini, trouve le sien au moment fatidique où Pierre lui montre enfin la vidéo. Les deux ancien·ne·s infirmier·ère·s s’imaginent déjà s’installer de façon permanente dans un chalet BESIDE, y recevoir leurs ami·e·s pour l’apéro, dépanner les voisin·e·s en leur prêtant leur génératrice ou soigner les écorchures des enfants qui courent trop vite sur le chemin de terre.

Un projet de famille

Les Côté-Leduc ont passé leur vie à Montréal avec leurs deux enfants. Leur fille, Maude, y vit et y travaille toujours, mais pour elle, la perspective de s’ancrer en ville en achetant une propriété n’a jamais vraiment eu de sens. Elle admet en revanche que l’idée d’avoir un pied à terre en forêt l’enchante. Elle embarque donc dans le projet avec ses parents.  

Pierre et Jacqueline dormiront à la mezzanine et lui laisseront le pod. «Quand on sera rendu·e·s vieillards, on échangera», dit cette dernière en riant. Et lorsque le duo aura envie de faire une saucette en ville, il échangera de maison avec Maude le temps d’un weekend.  

En attendant que leur chalet soit construit, Pierre et Jacqueline s’offrent quelques jours à BESIDE Habitat Lanaudière en février, question d’avoir un avant-gout de leur future vie.

Jacqueline se remémore cette soirée d’hiver à boire un verre de vin sur le bord du foyer, avec un fond de musique jazz: «Je me suis surprise à regarder les flocons tomber pendant 20 minutes pis à me dire “coudonc, j’vais-tu devenir contemplative moi, là?”».

L’architecture des chalets et leur façon de s’intégrer dans la nature leur permettent de faire le vide. Pendant les quelques mois qui précèdent le déménagement, ils épurent leurs possessions. Le 19 aout marque enfin l’heure du grand saut.  

«On part avec quelques boites, nos vélos et un escabeau», raconte Pierre. Les retraité·e·s deviennent les premier·ère·s membres fondateur·rice·s (et les seul·e·s à ce jour) à s’installer de façon permanente à BESIDE Habitat Lanaudière.  

Plus qu’un bain de forêt  

Comme pour plusieurs, la pandémie a fait resurgir le besoin de se rapprocher de la nature, mais aussi (et surtout) celui d’être ensemble. «On ne serait jamais allé·e·s s’isoler dans le fin fond du bois tout seul·e·s; c’est surtout l’esprit de communauté du projet qui nous a interpelé·e·s, explique Jacqueline. On a l’impression de faire partie d’une microsociété, où la collaboration et le soutien arrivent tout naturellement.»

Dans cette microsociété de membres fondateur·rice·s, il n’est pas rare que l’un·e écrive aux autres pour les inviter à emprunter sa nouvelle scie à chaine au besoin. Il leur est tout aussi naturel d’échanger des conseils pour récurer la fonte.  

Pour Jacqueline et Pierre, c’est précisément ce que BESIDE Habitat a de particulier: cette façon de rallier des gens qui ont tous envie de se rapprocher de la nature et de protéger le territoire.  

«Même si on vient tous et toutes d’horizons très différents, on se retrouve aujourd’hui grâce à des valeurs communes et on se sent honoré·e·s de faire partie d’un projet avec autant de portée», continue Jacqueline.  

Les souvenirs à créer

Le chalet est devenu le nouveau quartier général de la famille Côté-Leduc, un lieu de réunion et de rencontre. Lorsqu’elle s’y arrête, Maude s’y plait bien; l’eau est un élément qui l’apaise et la présence des lacs la rassure.  

«Contrairement à ma mère, je suis de nature contemplative. Je peux passer des heures à regarder la cime des arbres bouger à travers l’immense fenêtre», raconte-t-elle. Pour elle, le lieu appelle à la déconnexion.  

«On n’a jamais vu ça comme un investissement financier, mais plutôt comme un investissement envers le bienêtre, la famille et la protection de la nature», lance Pierre.  

À leurs yeux, la vraie valeur ne se calcule pas: elle se ressent. Surtout, elle se partage, et le duo compte bien le faire. En invitant des ami·e·s, en allant piqueniquer sur le bord du lac Charlevoix avec la voisine d’en face et en jouant à la pétanque avec des nouveaux et nouvelles venu·e·s.

Alors, tenez-le vous pour dit; si vous les saluez au détour d’un sentier, il se peut que vous soyez invité·e à souper.

Emmitouflez-vous dans l’hiver
Réchauffez-vous l’âme et les pieds à BESIDE Habitat pendant qu’il fait froid dehors. Les planchers radiants, le sauna et le poêle à bois vous attendent.
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Le nouveau lieu de rencontre des Côté-Leduc

BESIDE Habitat est intrinsèquement motivée par la conservation du territoire: protéger 80 % de toute terre acquise et développer au maximum 20 % de sa superficie. L’atteinte de cet objectif serait impossible sans la confiance et le soutien de celles et ceu x qui embarquent dans l’aventure et deviennent propriétaires d’un chalet. Nous les appelons nos membres fondateur·rice·s. Voici deux visages de cette communauté qui partage nos valeurs et qui fait en sorte que ce projet existe et continue d’évoluer.

Texte -

Automne 2022. Pierre Leduc voit la vidéo BESIDE Habitat. «J’ai réfléchi pendant trois jours entiers avant de la montrer à Jacqueline parce que je savais que si elle l’écoutait, elle commencerait déjà à paqueter nos boites», se remémore-t-il.  

Comme quoi il connait bien son épouse. Le couple, qui jusqu’alors n’a pas de projet de retraite défini, trouve le sien au moment fatidique où Pierre lui montre enfin la vidéo. Les deux ancien·ne·s infirmier·ère·s s’imaginent déjà s’installer de façon permanente dans un chalet BESIDE, y recevoir leurs ami·e·s pour l’apéro, dépanner les voisin·e·s en leur prêtant leur génératrice ou soigner les écorchures des enfants qui courent trop vite sur le chemin de terre.

Un projet de famille

Les Côté-Leduc ont passé leur vie à Montréal avec leurs deux enfants. Leur fille, Maude, y vit et y travaille toujours, mais pour elle, la perspective de s’ancrer en ville en achetant une propriété n’a jamais vraiment eu de sens. Elle admet en revanche que l’idée d’avoir un pied à terre en forêt l’enchante. Elle embarque donc dans le projet avec ses parents.  

Pierre et Jacqueline dormiront à la mezzanine et lui laisseront le pod. «Quand on sera rendu·e·s vieillards, on échangera», dit cette dernière en riant. Et lorsque le duo aura envie de faire une saucette en ville, il échangera de maison avec Maude le temps d’un weekend.  

En attendant que leur chalet soit construit, Pierre et Jacqueline s’offrent quelques jours à BESIDE Habitat Lanaudière en février, question d’avoir un avant-gout de leur future vie.

Jacqueline se remémore cette soirée d’hiver à boire un verre de vin sur le bord du foyer, avec un fond de musique jazz: «Je me suis surprise à regarder les flocons tomber pendant 20 minutes pis à me dire “coudonc, j’vais-tu devenir contemplative moi, là?”».

L’architecture des chalets et leur façon de s’intégrer dans la nature leur permettent de faire le vide. Pendant les quelques mois qui précèdent le déménagement, ils épurent leurs possessions. Le 19 aout marque enfin l’heure du grand saut.  

«On part avec quelques boites, nos vélos et un escabeau», raconte Pierre. Les retraité·e·s deviennent les premier·ère·s membres fondateur·rice·s (et les seul·e·s à ce jour) à s’installer de façon permanente à BESIDE Habitat Lanaudière.  

Plus qu’un bain de forêt  

Comme pour plusieurs, la pandémie a fait resurgir le besoin de se rapprocher de la nature, mais aussi (et surtout) celui d’être ensemble. «On ne serait jamais allé·e·s s’isoler dans le fin fond du bois tout seul·e·s; c’est surtout l’esprit de communauté du projet qui nous a interpelé·e·s, explique Jacqueline. On a l’impression de faire partie d’une microsociété, où la collaboration et le soutien arrivent tout naturellement.»

Dans cette microsociété de membres fondateur·rice·s, il n’est pas rare que l’un·e écrive aux autres pour les inviter à emprunter sa nouvelle scie à chaine au besoin. Il leur est tout aussi naturel d’échanger des conseils pour récurer la fonte.  

Pour Jacqueline et Pierre, c’est précisément ce que BESIDE Habitat a de particulier: cette façon de rallier des gens qui ont tous envie de se rapprocher de la nature et de protéger le territoire.  

«Même si on vient tous et toutes d’horizons très différents, on se retrouve aujourd’hui grâce à des valeurs communes et on se sent honoré·e·s de faire partie d’un projet avec autant de portée», continue Jacqueline.  

Les souvenirs à créer

Le chalet est devenu le nouveau quartier général de la famille Côté-Leduc, un lieu de réunion et de rencontre. Lorsqu’elle s’y arrête, Maude s’y plait bien; l’eau est un élément qui l’apaise et la présence des lacs la rassure.  

«Contrairement à ma mère, je suis de nature contemplative. Je peux passer des heures à regarder la cime des arbres bouger à travers l’immense fenêtre», raconte-t-elle. Pour elle, le lieu appelle à la déconnexion.  

«On n’a jamais vu ça comme un investissement financier, mais plutôt comme un investissement envers le bienêtre, la famille et la protection de la nature», lance Pierre.  

À leurs yeux, la vraie valeur ne se calcule pas: elle se ressent. Surtout, elle se partage, et le duo compte bien le faire. En invitant des ami·e·s, en allant piqueniquer sur le bord du lac Charlevoix avec la voisine d’en face et en jouant à la pétanque avec des nouveaux et nouvelles venu·e·s.

Alors, tenez-le vous pour dit; si vous les saluez au détour d’un sentier, il se peut que vous soyez invité·e à souper.

Emmitouflez-vous dans l’hiver
Réchauffez-vous l’âme et les pieds à BESIDE Habitat pendant qu’il fait froid dehors. Les planchers radiants, le sauna et le poêle à bois vous attendent.
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